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Posté : 28 avr. 2005 21:29
par damjour02
:bravo: :bravo: OLIVIER s'est trompé : fred n'as pas quité ce forum! :non: :non:

Posté : 09 oct. 2005 19:06
par jybo
Bonjour, je viens de decouvrir ce post et je le relance. Je trouve formidable de pouvoir lacher des oiseaux exotiques sans qu'ils s'enfuient. J'ai un couple de calopsittes dans une volière extérieure, est ce que le lacher de cet espèce est possible. Un de mes amis à  deux mâles dans une petites volière sur roulette ; ils sont tout le temps ensemble et il pensait les lacher alternativement pour que l'autre revienne. Est ce que ça peut marcher, et faut-il leur couper quelques plumes pour reduire un peu la vitesse de vol (trois plumes de chaque coté) ?

Merci de vos réponses.

@ jybo @

Posté : 21 sept. 2006 19:41
par Raf
Bonjour à  tous.

D'aprés ma petite expérience, la semi liberté est possible avec quasiment toutes les espèces "exotiques" (les "autochtones" sont trés souvent tentés de suivre les mouvements migratoires …).
Je l'ai pratiqué avec différents genres d'oiseaux, avec souvent le "truc" du couple séparé: l'un a un libre accés à  la liberté, l'autre pas (notamment, pour illustrer avec les oiseaux dits de parc comme les anatidés ou gruidés par exemple). Lorsque les couples sont bien formés, trés peu de cas d'évasion de la moitié (généralement le mâle) "libre".

Pour les psittacidés, objet de la superbe expérience décrite ici, j'ai actuellement en semi-liberté des Inséparables, des Callopsittes, des Colliers, des Tête de Prune. Ici, ce sont des couples (voir des groupes pour les Personatas) qui vont et qui viennent. Ils ont leur accés à  la volière et y rentre quotidiennement, voir plusieurs fois par jour pour nourriture (bien qu'ils en aient à  l'extérieur), coucher ET nidification (j'ai eu le cas dans le passé de Callos qui disparaissaient à  2 et qui réapparaissaient quelques temps plus tard à  4 ou 5, mais plus maintenant ?).
Pour mon cas, le seul paramètre à  respecter pour obtenir le succés dans ces tentatives est la tranquilité: un minimum d'espace, pas d'activités "dérangeantes" autour, pas trop de voisins, pas d'élevages trop prés … Et il restera toujours le risque potentiel du prédateur (en fonction de la taille) ou du pseudo-chasseur.
Il faut de temps en temps refermer les portes pour "resserer les liens" ou en hiver pour les protéger de certaines rigueurs auquelles il peuvent ne pas être préparés.
J'habite en forêt, ce qui est effectivement un désavantage pour les premières sorties (ça fait flipper !), mais ils s'habituent trés bien.