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MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 23 févr. 2012 20:27
par zozio auvergnat
J'ai parcouru les sujets traités sur le Gould, il n'est fait état que des mutations. Le gould type sauvage, si attrayant à  l'oeil est-il en voie de disparition ?.
Combien de gould sauvage en exposition vis à  vis des mutants, et chez les mandarins, lorsque vous trouver un gris, il faut prendre le temps de l'admirer tellement il est isolé dans sa série.

La mutation est une altération de l'ADN, « quelque chose fonctionne mal ou ne fonctionne plus ». Pensez vous qu'à  force de muter des gènes nous ne serons pas un jour obligé de retrouver un sang d'origine, mais où en trouver ?

Depuis plusieurs années, je tente de reconstituer un stock de gould non mutés et non porteurs bien sûr. Mais en réalité, c'est un peu tard, quoi que je fasses, il y aura toujours des gènes mutés dans mes oiseaux.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 23 févr. 2012 21:46
par lolo280481
même problème avec les nouméas, il devient difficile de trouver des classiques non porteur de bleu ou de panaché
je pense qu'un jour tout le monde cherchera des classiques pour refaire des souches mais il sera peut être trop tard mais ce n'est que mon avis
c'était juste une petite appartée, je laisse les spécialistes des goulds s'exprimer

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 08:29
par zozio auvergnat
Comment travailler les diamants de gould pour retrouver une souche au plus proche de l'originale.
D'acheter à  droite à  gauche des oiseaux phénotypement ne peut être qu'une base pour ce travail. Nul n'ignore que la quasi totalité des gould sont porteurs ou supposés porteurs d'une mutation.

Faisons abstraction des nouvelles mutations cinnamom et arlequin qui sont encore isolées. C'est surtout le facteur poitrine blanche et le facteur dos bleu qui peuvent polluer votre souche. Les couleurs des têtes n'ont pas encore été mutées et restent rouge, orange ou noire
Pour vous assurer que votre oiseau « X » n'est pas porteur de mutation, il vous faut l'accoupler avec un partenaire poitrine blanche dos bleu durant une saison. S'il ne ressort aucun mutant de cet accouplement, vous pouvez pré-estimer que vous vous avez trouvé un oiseau potentiellement pur.
En faisant cette expérience avec plusieurs autres individus, vous allez pouvoir mettre de coté quelques spécimens que vous accouplerez entre eux, cette fois, les années suivantes. Vous constituerez ainsi un stock de gould. Bien sûr, tous les oiseaux ayant eu dans leur progéniture au moins un mutant devront être écartés sans état d'âme.
Des nouvelles naissances, il vous faudra refaire la même expérience durant leur première année de reproduction pour vous assurer une fois de plus de leur pureté.

C'est un fort volume d'oiseaux à  faire, mais c'est le prix à  payer pour rattraper notre erreur. Il faut aussi du temps, le diamant de Gould reproduit que quelques années après l'age de 18 mois.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 12:29
par diamant
zozio auvergnat a écrit :J'ai parcouru les sujets traités sur le Gould, il n'est fait état que des mutations. Le gould type sauvage, si attrayant à  l'oeil est-il en voie de disparition ?.
slt, malheureusement le gould est en train de prendre le même chemin que le canari (schimmel, intensif...) bientôt on va nous pondre des gould de posture :roll:

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 13:16
par zozio auvergnat
Effectivement, le diamant de Gould est en train de séparer entre le schimmel et l'intensif, ce qui complique pas mal les choses.

Pour info, au travers de ce post, je ne suis pas du tout récalcitrant aux mutations puisque je possède quasiment toutes les combinaisons à  l'heure actuelle, exception faite de la dernière apparition, le panaché.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 13:52
par anthonny
je ne suis pas expert en gould mais pour retrouver du pur ta méthode est bonne mais très très sélective et va te laisser un faible potentiel d'oiseaux pour constituer une souche de pur

il ne serait pas plus simple de prendre un certain nombre d'oiseaux de phénotype sauvage les faire reproduire entre eux supprimer tout les jeunes mutant et les reproducteur chaque année et repartir avec les jeunes types sauvage je pense que théoriquement sur 4 ou 5 génération il ne devrait plus sortir aucun mutant

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 14:11
par zozio auvergnat
anthonny a écrit :il ne serait pas plus simple de prendre un certain nombre d'oiseaux de phénotype sauvage les faire reproduire entre eux supprimer tout les jeunes mutant et les reproducteur chaque année et repartir avec les jeunes types sauvage je pense que théoriquement sur 4 ou 5 génération il ne devrait plus sortir aucun mutant
J'avais étudier cette possibilité lorsque je m'étais lancé à  vouloir conserver le génotype sauvage. La méthode que tu indiques peut-être viable, mais des mutations peuvent resurgir après plusieurs générations, ce qui détruierait pas mal d'oiseaux en amont dans la souche. Autant s'assurer directement et au plus vite, que tel ou tel oiseau n'est pas porteur ainsi, les risques sont bien plus limités. Certes, j'ai pas mal de ce que je dirai rebus, qui passent dans l'élevage des mutants dans la pièce voisinne.

Il faut travailler avec beaucoup d'oiseaux, mais le hic, c'est les quotas autorisés par la législation actuelle. Et il a fallu trouver trouver une solution pour ne pas se mettre en porte à  faux.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 14:18
par Hervé21
Personnellement j'élève aussi le Gould en mutations (bleu, dilué et porteurs) depuis qlq années (6 pour les bleus et 2 pour les dilués). Mes deux phénotypes préférés étant les Bleus TR PV Simple Facteur de Dilution, et les Double Dilution TO PV.
Je trouve néanmoins ce sujet très intéressant car il témoigne du dilemme même que connaissent la plupart des éleveurs d'espèces dites domestiques: élever des oiseaux souvent en danger dans leur biotope afin de les préserver, ou élever des oiseaux n'ayant plus rien à  voir avec ceux qui viv(ai)ent à  l'état naturel pour le seul plaisir de la sélection et du travail génétique...
Je suis moi-même partagé sur ce sujet car inquiet pour l'environnement naturel de manière globale (environnement dont nous ne faisons plus partie).
Maintenant pour ce qui est de l'élevage du diamant de Gould, je pense qu'ils nous donnent justement une lueur d'espoir. En effet, mes oiseaux élèvent naturellement leurs jeunes et j'ai régulièrement la (mauvaise pour moi) surprise de constater que les parents opèrent un tri rigoureux dans leurs propres nichées: ils n'élèvent généralement pas les jeunes dont le phénotype est trop différent de leur "standard" (diamants au coin du bec trop pâles, plumes claires...) et "sélectionnent" ceux qui sont proches du phénotype sauvage (les plus sombres possibles).
C'est ainsi que cette année j'ai dû faire appel moi aussi à  un couple de moineaux du japon pour sauver qlq jeunes dilués parmi les dizaines que les parents ont délaissé ou rejeté (voire tué).
Il me semble donc que les deux sont conciliables à  long terme car la sélection naturelle s'opère bien plus vite qu'on ne le croit et si les diamants de Gould devaient d'aventure être réintroduits dans la nature, s'ils venaient à  en disparaître, je pense que trois ou quatre générations suffiraient à  faire le tri parmi les oiseaux porteurs et non-porteurs. De surcroît, l'utilisation de porteurs est nécessaire dans l'élevage du Gould, ce qui permet de conserver des oiseaux de phénotype sauvage (même s'ils sont génétiquement porteurs de certaines mutations), susceptibles de transmettre également ce même génotype sauvage.
La solution que tu proposes zozio présente l'inconvénient de multiplier encore le nombre de porteurs multiples dans les premières générations.
Celle d'Anthony est plus radicale mais rejoint mon constat: ne pas empêcher les parents de faire leur propre sélection, pendant plusieurs générations et accepter de perdre les oiseaux les plus recherchés (mutants)...
:quoi:

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 15:19
par Gardie Marie Jo
pour moi ,j'ai 4 couples de goulds type sauvage et il ne sort aucun mutant et je tiens à  garder cette souche pure ,autrement j'ai un couple qui me sort des bleus et un autre des porteurs de jaune ,je trouve la couleur sauvage plus jolie que les pastels ,je trouve dommage qu'on garde pas le type sauvage dans toute les espèces ,à + marie jo

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 15:47
par diamant
zozio auvergnat a écrit :Effectivement, le diamant de Gould est en train de séparer entre le schimmel et l'intensif, ce qui complique pas mal les choses.
oui puisque se sont des tares génétiques supplémentaires ... :-(

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 15:52
par diamant
Hervé21 a écrit :

Il me semble donc que les deux sont conciliables à  long terme car la sélection naturelle s'opère bien plus vite qu'on ne le croit et si les diamants de Gould devaient d'aventure être réintroduits dans la nature, s'ils venaient à  en disparaître, je pense que trois ou quatre générations suffiraient à  faire le tri parmi les oiseaux porteurs et non-porteurs.
slt, il y a déjà  des programmes de réintroduction avec les éleveurs Australiens et anglo-saxons ...

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 15:55
par Wessel van der Veen
Bonjour:

Anthony as écrit:
<<il ne serait pas plus simple de prendre un certain nombre d'oiseaux de phénotype sauvage les faire reproduire entre eux supprimer tout les jeunes mutant et les reproducteur chaque année et repartir avec les jeunes types sauvage je pense que théoriquement sur 4 ou 5 génération il ne devrait plus sortir aucun mutant>>

Bien qu'il ne s'agit pas des Goulds mais de Agapornis personatus:
Un dizaine d'années passé j'ai acheter quelque couples de personatus vert chez un éleveur qui ne faites que le vert pour 25 ans environs.
J'en ai élevé un cinquantaine des jeunes vert en +/- 5 années.
Puis je les ai vendu à  une copine Italienne.
Trois an plus tard elle m'écrit: "J'ai mis un de vos verts avec un bleu et j'en ai tiré des jeunes bleu".
Ce que veut dire que même après 30 ans un facteur récessive se peut présenter de nouveau.

La manie d'élever des mutations de couleur sans registre quelconque est une maladie grave :).
Il est presque impossible de trouver des oiseaux, peu importe l'espèce, qui ne sont pas porteur.

Eh oui, je suis un idéaliste.
J'ai les données de mes lilianae vert sur l’ordinateur depuis 02-01-1990.
Et le seul lutino que j'ai jamais eu est mort depuis 1998 et ses deux jeunes vert/ino depuis 2000.
Franchement je ne considère pas que ça est très grave.

Wessel van der Veen.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 16:33
par zozio auvergnat
Hervé21 a écrit : Il me semble donc que les deux sont conciliables à  long terme car la sélection naturelle s'opère bien plus vite qu'on ne le croit et si les diamants de Gould devaient d'aventure être réintroduits dans la nature, s'ils venaient à  en disparaître.
Malheureusement, il ne faut trop compter sur une réintroduction des oiseaux issus d'un élevage comme il se fait actuellement. le cahier des charges pour la ré-introduction est extrêmement complexe et le sang de nos élevage diffère certainement de celui de l'espèce vivant encore dans la nature.
Il y a une quinzaine d'années, avait été tentée la ré-introduction des tarin rouge du Vénézuéla. Cela avait été un échec, les éleveurs qui s'étaient proposés ont été reboutés dès l'analyse du sang de l'un de leur oiseaux.
Pour ré-introduire une espèce , ce qui se passe effectivement et actuellement en Australie, c'est la capture de sauvage, leur reproduction et larges volières et le lâcher des jeunes.
Contreverse entre différentes équipent qui analysent cet oiseau sur le terrain sur le nombre d'individus restant : Plus ou moins 1200, je dis bien mille deux cents. C'est effarent !

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 16:36
par zozio auvergnat
Hervé21 a écrit : je pense que trois ou quatre générations suffiraient à  faire le tri parmi les oiseaux porteurs et non-porteurs.

Celle d'Anthony est plus radicale mais rejoint mon constat: ne pas empêcher les parents de faire leur propre sélection, pendant plusieurs générations et accepter de perdre les oiseaux les plus recherchés (mutants)...
:quoi:
Le fait de croiser un pur par un porteur ne va générer que des supposés purs avec parmi eux, des porteurs qui vont passer de génération en génération sans que l'on s'en aperçoive, Non ?

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 16:38
par zozio auvergnat
Gardie Marie Jo a écrit :pour moi ,j'ai 4 couples de goulds type sauvage et il ne sort aucun mutant et je tiens à  garder cette souche pure ,
Là , je grave vos coordonnées dans mon élevage pour peut-être trouver un peu de sang neuf pour ma lignée, par achat ou échange.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 17:04
par Hervé21
zozio auvergnat a écrit :
Hervé21 a écrit : je pense que trois ou quatre générations suffiraient à  faire le tri parmi les oiseaux porteurs et non-porteurs.

Celle d'Anthony est plus radicale mais rejoint mon constat: ne pas empêcher les parents de faire leur propre sélection, pendant plusieurs générations et accepter de perdre les oiseaux les plus recherchés (mutants)...
:quoi:
Le fait de croiser un pur par un porteur ne va générer que des supposés purs avec parmi eux, des porteurs qui vont passer de génération en génération sans que l'on s'en aperçoive, Non ?
Pour bleu et poitrine blanche certes, mais les prédateurs auraient tôt fait d'éliminer ceux qui sont trop facilement repérables, voire simplement différents de la majorité.
Il me semble toutefois que des sujets à  poitrine blanche avaient déjà  été vus dans le milieu naturel; mutation spontanée, viable apparemment.

En fait, si l'on ne parle pas de réintroduction, je ne vois pas bien où est le problème d'avoir des oiseaux porteurs (si les lignées sont suivies certes): on obtient tjs des sujets classiques dans les nichées (à  moins de faire mutant x mutant); et même s'ils sont porteurs, où est le problème puisque cela ne se distingue pas à  l’œil profane ? Statistiquement porteur x porteur = 25% de classiques...
Celui qui veut une souche "pure" de classiques, doit travailler comme toute souche, par élimination des sujets non souhaités; cela ne me paraît pas différent du travail de tout éleveur désireux de maintenir un type.
L'exemple cité par M. Wessel van der Veen donne une illustration de ce que l'on peut en effet craindre: retrouver des sujets mutants alors que l'on croyait avoir éliminé tout porteur... On peut aussi objecter qu'en Gould, contrairement à  d'autres espèces, les mutations dont sont porteurs les oiseaux sont souvent discernables par l’œil de l'expert: reflets bleutés pour les /bleus (alaires ou sur le dos), nuance jaunâtre sur la nuque pour la poitrine blanche, sans parler de l'aspect de la peau nue des oisillons au nid.
Loin de moi l'idée de dire qu'il serait chose simple d'obtenir une souche "pure" en peu de temps, mais cela me semble possible, au même titre que tout caractère que l'on souhaite fixer; même si cela peut paraître paradoxal quand on parle de sujets classiques.
Encore une fois, l'élevage du gould, avec ses qualités originelles a apporté déjà  de grands bonheurs aux éleveurs des générations précédentes; pourquoi se priver de plaisirs nouveaux, en sachant que le génotype classique est tjs celui qui résiste le mieux en élevage (d'où l'emploi de porteurs) ?
Pour illustrer mon propos sur la sélection naturelle pratiquée par les parents, il me semble d'autre part que l'élevage en colonie pratiqué en volière nécessite la réintroduction régulière de sujets mutés si l'on veut garder une certaines diversité dans sa volière: l'ensemble tendant irrémédiablement au fil des reproductions vers une dominante numéraire du phénotype classique; ce qui ne manquerait pas, à  plus ou moins long terme certes, de mener à  l'élimination des sujets mutants...

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 17:22
par Hervé21
zozio auvergnat a écrit :Les couleurs des têtes n'ont pas encore été mutées et restent rouge, orange ou noire
Je crois qu'il y a un italien qui travaille sur une souche de têtes bleues... :oops: http://users.skynet.be/fa398872/frgoulm72.htm
Mais je crois qu'elle se comporte comme un TN génétiquement. ;-)

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 17:30
par zozio auvergnat
Hervé21 a écrit :
zozio auvergnat a écrit :
Hervé21 a écrit : Encore une fois, l'élevage du gould, avec ses qualités originelles a apporté déjà  de grands bonheurs aux éleveurs des générations précédentes; pourquoi se priver de plaisirs nouveaux, en sachant que le génotype classique est tjs celui qui résiste le mieux en élevage (d'où l'emploi de porteurs)..
Nous savons très bien que les mutations sont une "dégénérescence" d'au moins un gène de l'oiseau. Nous allons toujours de plus en plus loin dans les mutations et leurs combinaisons mais un jour, il faudra bien revenir chercher du sang d'origine, mais où le trouver, sur des porteurs qui ne sont déjà  pas sain ? (Il n'y a plus d'exportation de gould depuis 1962).

Vers les années 1987, lorsque nous avons combiné les mutations poitrine blanche, tête noire, dos bleu et double dilution, nous avons obtenu les premiers goulds blanc pur. Nous avons été très content de trouver des sujets d'origine pour améliorer leur résistance en créant des porteur.

Pour les mutations, je n'évoque à  aucun moment qu'il faut se priver des plaisirs nouveaux chez chaque variétés. J'élève toutes les mutations sauf le panaché que je n'ai jamais pu encore acheter.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 17:34
par zozio auvergnat
Hervé21 a écrit :
zozio auvergnat a écrit :Les couleurs des têtes n'ont pas encore été mutées et restent rouge, orange ou noire
Je crois qu'il y a un italien qui travaille sur une souche de têtes bleues... :oops: http://users.skynet.be/fa398872/frgoulm72.htm
Mais je crois qu'elle se comporte comme un TN génétiquement. ;-)

C'est exact, j'en connais aussi une souche dans un élevage au Portugal, mais pour le moment, elle ne fait pas légion.
Il est un peu surprenant que cette nouvelle couleur se comporte comme la tête noire. C'est plus une abbération du masque noir. Nous parvenons bien à  le rendre gris ou blanc couramment.

Re: MUTATIONS : Mais où est le gould génotype sauvage ?

Posté : 24 févr. 2012 17:51
par Hervé21
zozio auvergnat a écrit :C'est plus une abbération du masque noir. Nous parvenons bien à  le rendre gris ou blanc couramment.
Oui je suis d'accord avec toi, c'est visiblement une aberration du masque noir.